Le 22 mars, c’était la journée mondiale de l’eau…
Me voilà bien mélangé… Il y a les volutes sereines de l’encens zen trouvées sur ces beaux blogs de sagesse que je découvre (liste à venir), accompagnés de paroles de Maîtres que je goûte sincèrement et profondément. Gouttes d’eau bénite pour djaipi assoiffé.
Il y a aussi les ronces du charnier. Je ne suis pas un pur esprit et le corps de ma conscience est blessé. Alors j’ose éprouver ma dualité…
Pour parodier l’amie adaveen, je suis « NeD en l’air », enivré comme a pu l’être le soufi Omar par l’érotisme cosmique de notre Univers et les rondeurs magiques des quatre éléments de la Vie terrestre (déesse primordiale).
NeD en l’air mais cul par terre, lorsque cette déesse est vendue, violée, avilie par les « teeshirts noirs » (expression californienne) du matérialisme dominant.
La Vie n’est pas à vendre. La caractéristique par laquelle on reconnaît les Iago du Mollock, est qu'ils ne supportent pas
la Beauté. Le troll de la maison blanche veut tout saccager. Après le peuple irakien (ses enfants, sa culture), après l’Alaska, les pauvres et les bazanés, il veut détruire les séquoias de Californie, sans parler de son accord pour les manipulations géopolitiques, génétiques etc. (voir les dossiers édifiants de
Sytinet).
Les femelles ne sont pas en reste : il y a
la Maquerelle du Mollock en la personne de cette directrice de l’agence pour l’eau de Las Vegas. (Voir le beau et désespérant
film d’Arthus Bertrand)
L’Eau, c’est la Vie. Et la Vie n’est pas une marchandise. Le matérialisme (même spirituel, voir Trungpa) n’est pas une plaisanterie. Mais le devoir d’humanité non plus.
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