-- Ecologie géométrique (ou géométrie écologique)
Face aux multiples tentatives pour créer des systèmes tous plus (ou moins) parallèles les uns aux autres, aux alternatives associativo-dépendantes du « Ssystèmatrix », aux lois votées pour modifier les lois qui abrogent les lois contredisant les lois etc. (ouf…) ; ne peut-on pas envisager de déconstruire la Grande Illusion, comme certains proposent de « décroître », pour sortir de cette frénésie hypnotique du progrès avide et hystérique, pour enfin envisager de « désinventer » ce monde que l’humanité est en train de pervertir, de violer et de désagréger en s’humiliant elle-même…
La désinvention est peut-être une façon « géométrique » de sortir de cette hallucination morbide qui consiste à croire que nos désirs vont soumettre la réalité…à notre bon plaisir (et de quel plaisir s’agit-il ?), et qu’il est temps de rechercher une maîtrise humaniste à cette Fonction Fabulatrice qui pollue notre psychisme avec autant de mensonges contradictoires et manipulateurs.
La désinvention permettrait éventuellement de diminuer, voire de cesser, cette tendance funeste de fabuler à tort et à travers en produisant ces virtualités scientifico-artistico-socialo-libéralo-matérialistico-caca-haut etctero… toutes plus K.O.-chaotiques les unes que les autres. Nos enfants auraient peut-être une chance d’apercevoir un monde non plus fantasmé et soumis à nos délires de plus en plus paranoïaques et mégalégomaniaques (tu meurs !), mais un monde un peu plus naturel, c'est-à-dire respecté, seul capable de nous restituer notre humanité essentielle.
La désinvention est une attitude géométrique pour contrer la frénésie des parallélismes obsessionnels et la production compulsive d’illusions qui engraissent lourdement ces peurs reptiliennes et fascistes dont les hommes se gavent.
Ame haine…
Face aux multiples tentatives pour créer des systèmes tous plus (ou moins) parallèles les uns aux autres, aux alternatives associativo-dépendantes du « Ssystèmatrix », aux lois votées pour modifier les lois qui abrogent les lois contredisant les lois etc. (ouf…) ; ne peut-on pas envisager de déconstruire la Grande Illusion, comme certains proposent de « décroître », pour sortir de cette frénésie hypnotique du progrès avide et hystérique, pour enfin envisager de « désinventer » ce monde que l’humanité est en train de pervertir, de violer et de désagréger en s’humiliant elle-même…
La désinvention est peut-être une façon « géométrique » de sortir de cette hallucination morbide qui consiste à croire que nos désirs vont soumettre la réalité…à notre bon plaisir (et de quel plaisir s’agit-il ?), et qu’il est temps de rechercher une maîtrise humaniste à cette Fonction Fabulatrice qui pollue notre psychisme avec autant de mensonges contradictoires et manipulateurs.
La désinvention permettrait éventuellement de diminuer, voire de cesser, cette tendance funeste de fabuler à tort et à travers en produisant ces virtualités scientifico-artistico-socialo-libéralo-matérialistico-caca-haut etctero… toutes plus K.O.-chaotiques les unes que les autres. Nos enfants auraient peut-être une chance d’apercevoir un monde non plus fantasmé et soumis à nos délires de plus en plus paranoïaques et mégalégomaniaques (tu meurs !), mais un monde un peu plus naturel, c'est-à-dire respecté, seul capable de nous restituer notre humanité essentielle.
La désinvention est une attitude géométrique pour contrer la frénésie des parallélismes obsessionnels et la production compulsive d’illusions qui engraissent lourdement ces peurs reptiliennes et fascistes dont les hommes se gavent.
Ame haine…
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