En effet, l’été aoûtien a été photophile. Le retour à Paris confirma une romance qui couvait depuis des mois.
En revisitant la belle Géode, fin août, j’ai enfin reconnu mon addiction à cette splendide sculpture (sonore en plus) et à ce sentiment géométrique qui naît de sa façon de chanter la rencontre du concave et du convexe.
Sa peau est ornée par la cartographie onirique de paysages ambigus, calligraphiques et en constante transmutation (NeD adore, le gaulois Lumix aussi).
Elle a, sur ses flancs, des portes du Ciel (Heavens’ doors), une à l’Est et l’autre à l’Ouest.
Elle a le charme rare et lumineux de refléter sa propre ombre.
Elle réside dans le haut lieu géométrique du parc de la Cité des Sciences, lui-même conjoint du parc de la Villette à Paris.
A propos de sphères, voir: spheregate, spheres, sph'air
D'autres images chez Ipernity
En revisitant la belle Géode, fin août, j’ai enfin reconnu mon addiction à cette splendide sculpture (sonore en plus) et à ce sentiment géométrique qui naît de sa façon de chanter la rencontre du concave et du convexe.
Sa peau est ornée par la cartographie onirique de paysages ambigus, calligraphiques et en constante transmutation (NeD adore, le gaulois Lumix aussi).
Elle a, sur ses flancs, des portes du Ciel (Heavens’ doors), une à l’Est et l’autre à l’Ouest.
Elle a le charme rare et lumineux de refléter sa propre ombre.
Elle réside dans le haut lieu géométrique du parc de la Cité des Sciences, lui-même conjoint du parc de la Villette à Paris.
A propos de sphères, voir: spheregate, spheres, sph'air
D'autres images chez Ipernity