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NeD est le fil. C’est une figure turbulente. Je sais que je n’en ferai pas le « tour » et qu’il ne faut surtout pas y penser. L’approche a été (depuis 4 ans) et est encore, au mieux aventureuse et enivrante, et au pire désespérante, vertigineuse et anxiogène ; en un mot : « numineuse ».
C’est un parcours labyrinthique obligé. NeD, malgré les apparences, est labyrinthique. Il déclenche les interrogations inconfortables mais précieuses que tout symbole provoque.
J’écarte petit à petit l’idée qu’il faut faire une présentation « ordonnée » de l’enquête que NeD me pousse à faire. Pourtant, il invite, par sa morphologie, à une conduite organisatrice. Mais c’est la partie « visible » du symbole. Car sa partie cachée est versatile, agitée et entropique.
NeD a une ombre graphique, c’est Tin’Dé:
NeD n’est pas une clé universelle, une nouvelle « pierre du Nord » ou autre symbole bonimenteur qui veut vendre un nième nouveau modèle de l’Univers. Il n’explique pas tout, il n’explique pas grand-chose, d’ailleurs, et il faut aller fouiller et explorer hardiment dans les domaines qu’il pointe du doigt. Il pousse à la vérification autant qu’à une attitude qui n’est pas soumise à la pensée logique.
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