Deuxième concert du quatuor Via Nova à la Fondation Taylor. Il y avait du Brahms et du Schumann. Et encore une fois: quel son! ô quel son!
Et puis j'aime ces musiciens lorsqu'ils parlent de la Musique comme d'une déesse pour laquelle ils expriment une dévotion fervente, ou des compositeurs (ici, c'était Schumann) dont ils racontent chaleureusement la vie et l'oeuvre.
Pourtant, le répertoire romantique n'est pas celui que je préfère. Je me sens plus proche de J.S. Bach et de Miles Davis. Mais au diable mes petits critères lorsque ça joue comme ça...
Le bois des violons et le papier des gravures, les cordes et les cuivres, c'est une belle histoire d'amour. Merci Claude Jean Darmon...
J'en ai même oublié de poster l'invitation pour l'exposition chez Marc Higonnet.
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