Atelier-jonque de géométries spirituelles

jeudi 25 janvier 2007

SgrA*

Je ne sais pas pour vous, mais ça me fait quelque chose d’étrange, un doux vertige géométrique, toutes ces analogies qui papillonnent autour de nous.
Quand je lis que « notre » trou noir produit des échos lumineux (i.e. : il est lucide) lorsqu' il se nourrit; j’entends Hermès nous dire:
-Tout ce qui est haut est comme tout ce qui est en bas.
Le haut et le bas, ici, pour grand et petit.
J’entends aussi le koan de Gurdjieff (mais en est-ce vraiment un ?) :
- Qui te sert de nourriture et à qui sers-tu de nourriture ?
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L’ébriété géométrique est possible ! Ami(e)s du jazz ET des étoiles et des vers de terre, elle est possible si l’on goûte l’échelle du spectacle (4 millions de soleils, quand même…), sa relativité et l’énigme du trou noir intérieur.
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L’âme est à Dieu ce que l’œil est au soleil.
(C.G. Jung)
L’ébriété géométrique...
Notre galaxie héberge un trou noir appelé SgrA* dont la masse, calculée à partir de l'étude du mouvement des étoiles et du gaz qui l'entourent, équivaut presque à celle de 4 millions de soleils. Mais il ne semble pas gagner du poids à l’heure actuelle, car il ne rayonne pas intensément dans les rayons X, comme cela se produit quand il aspire de la matière. (suite…)

Voir aussi la résolution de la conjecture de Poincarré (test pour démontrer qu’un espace est équivalent à une "hypersphère") ICI , et le post du 12.01.07.

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