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Waterfall, M.C. Escher, lithographie, 1961 (mcescher.com)
Ah ! les vidéos sont revenues, c’était probablement une apnée de Youtube. Profitez en : voici une association géométrique entre la célèbre illusion d’optique de M.C. Escher (mentor de NeD) et son mouvement perpétuel (ci-dessus), et ce Boléro de Maurice Ravel, maître des couleurs et des espaces, par Daniel Barenboim, superbe concert en plein air (hélas, le film est coupé en deux). Les musiciens, aussi, sont beaux. (Ça me rappelle quelqu’uns d’où…)
Daniel Barenboim - Berliner Phil. (1998)
Part. 1 (07 :08)
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Part. 2 (08:19)
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Il y a aussi la version Karajan, mais le son est nul.
Pour varier les plaisirs : version d’un seul tenant (06:56), un peu hollywoodienne, avec voix et mise en scène :
http://www.youtube.com/watch?v=3-4J5j74VPw
Version de Maurice Béjart, part 2 (ballet):
http://www.youtube.com/watch?v=UnSh-KPV7QQ
Pour varier les plaisirs : version d’un seul tenant (06:56), un peu hollywoodienne, avec voix et mise en scène :
http://www.youtube.com/watch?v=3-4J5j74VPw
Version de Maurice Béjart, part 2 (ballet):
http://www.youtube.com/watch?v=UnSh-KPV7QQ
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9 commentaires:
Cela fait deux jours que j'essaie de mettre un commentaire pour dire combien j'apprécie la totalité que forment sur cette note l'image le son et les mots. En plus, malgré mon compte Google on me refuse l'accès. je vais probablement terminer en "anonyme" alors je signe en vous embrassant : Ariaga.
Dès les premières lignes de ton texte, j'ai de suite pensé au ballet de Béjart, qui bien entendu était cité plus loin.
Je te demande de bien vouloir m'excuser pour mon absence pendant quelques temps...!
Suricate
Merci, chère Ariaga... Signez, signez et snobez au passage le Comte Googl... :-)
Bises ravéliennes
Et de plus en plus fort et de plus en plus doux et de plus en plus troublant... quelle belle histoire...
Ce Monsieur Béjart, je craque!
Eviva Djaipi et sa jonque très érotique ce soir!!!!!
POLSKA (L'Inde c'est jeudi prochain...)
un peu effrayant, ce Escher...ça m'impressionne toujours ces effets d'optique. Et pour Ravel, choix ravissant!
Suricate alias graindesel - moi aussi je suis un déserteur, tu es tout excusé (avons-nous, au fond, vraiment besoin d’excuses ?...), c’est la condition de navigateur.
Il semble que tu as eu des ennuis ces derniers temps, j’espère que ça se solutionne. Tes trouvailles iconographiques sont toujours aussi savoureuses. Amicalement
Polska – Erotique ?!? Ouaaa, moi qui la voyait grisonnante, un peu flétrie et à bout de souffle…
Alors, bons préparatifs pour ce voyage…érotique ?
Bises indies
Astrale – Est-ce le ravissement de l’illusion ou vis et versa ? :-)
Cela devient chaud sur ce blog, à quand l'interdit aux moins dix huit ans sous peine de se perdre dans les méandres des mandalas ? Bises de braises. Ariaga.
je recommande la lecture que ce mot"ravissement" m'a remémoré:
"Le ravissement de Lol V. Stein" roman de marguerite duras...j'aime beaucoup duras.
et pour l'illusion, cher djaipi, celle qui me fait le plus sourire:
nous sommes chacun d'entre nous, le centre du monde, puisque le monde l'univers, n'est pas borné, qu'il est en mouvement et qu'il n'a pas de centre défini.
Ariaga – je parlais de la Jonque, bien sûr… C’est le printemps ? :-)
Bises payennes
Astrale – oui, ravir ou être ravi, prendre ou être (sur)pris…
« nous sommes analogues au macrocosme, petits mais vivants, chiffonnés mais créatifs, immenses mais pas infinis… » aurait dit J.P. Luminet (J’en avais fait un billet le 29 août 2007).
Astrobises
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