Nous y sommes. Voilà, c’est le premier jour de juillet, c’est comme un jour tout neuf – d’accord, ça ne dure que 24 heures… Mais c’est le même petit plaisir que d’entamer un nouveau cahier.
Et puis Un, c’est si simple ! Même si ce n’est que pour 24 heures… C’est si simple et évident que ça ressemble trop fort à une coïncidence. La même (ou à peu près) que celle de cette photo que je viens de retrouver.
Il y avait beaucoup de vent, ce jour là, rue de Crimée ; comme ailleurs probablement. Je lançais mes questions sur les murs de l’atelier comme ces balles spéciales qui accélèrent en rebondissant. Je crois que le cuboïde NeD me bousculait sens dessus dessous, c’était assez tendu.
Je suis sorti sur la passerelle, devant l’atelier, pour prendre un peu l’air. Et (pourquoi, je n’en sais rien) je n’ai pas voulu chercher une réponse en regardant vers le haut, mais en regardant vers le bas. J’ai trouvé cette réponse visuelle sous mes pieds. L'image n’est ni un montage ni une mise en scène, tous les objets sont là spontanément, à cause du vent… Comme le premier jour d’un mois.
Et puis Un, c’est si simple ! Même si ce n’est que pour 24 heures… C’est si simple et évident que ça ressemble trop fort à une coïncidence. La même (ou à peu près) que celle de cette photo que je viens de retrouver.
Il y avait beaucoup de vent, ce jour là, rue de Crimée ; comme ailleurs probablement. Je lançais mes questions sur les murs de l’atelier comme ces balles spéciales qui accélèrent en rebondissant. Je crois que le cuboïde NeD me bousculait sens dessus dessous, c’était assez tendu.
Je suis sorti sur la passerelle, devant l’atelier, pour prendre un peu l’air. Et (pourquoi, je n’en sais rien) je n’ai pas voulu chercher une réponse en regardant vers le haut, mais en regardant vers le bas. J’ai trouvé cette réponse visuelle sous mes pieds. L'image n’est ni un montage ni une mise en scène, tous les objets sont là spontanément, à cause du vent… Comme le premier jour d’un mois.
7 commentaires:
C'est vraiment une photo formidable. Bises.
Clins d'oeil de la vie :-)
Ariaga – c’est un point de vue …zénithal ! bises d’été
Lungta – en terme de « vent », tu es un connaisseur! :-)
surprenante photo ! (Je refléchirai à comment être soi-même un vélo...)
ahahah tu veux dire queje brasse du vent ? héhéhéhé
le cheval te salue bien ;-)
j'adore,j'adore.Je ne peux plus rester silencieuse.
Quelle chance ! moi qui ne crois pas aux images du hasardonné, c'est la première qui me donne tort: tout est en place...sauf ( pour moi ) la lumière, mais la lumière, je la trouve dans ton écriture. Cette sensation inouie de la fragilité de ce premier jour du mois, jour de rien, d'un huitième de seconde..l'odeur et l'émotion du cahier neuf,une éternité partagée.Vélos de la liberté: cathectera ou ne cathectera pas ?= être soi-même. Quel très beau cadeau tu as su saisir-là.J''espère que tu m'amènes ton fichier raw que nous en fassions un A3+ et + si affinités ! Si j'étais Séguéla ( mais je ne l'ai jamais aimé ) , j'achèterai tout de suite .Mise en scène d'Eole, Eole n'est plus là pour en attester il n'y a que ta parole: fragilité/durée pour le faire.
Merci Djaipi.
Hélène
Acouphène – c’est le vent, c’est le vent… :-)
LungTa – Cheval devant, pourvu qu’il nous em-brasse… :-)
HH – Merci de ton émoi, sachant que ton œil est aiguisé au viseur de ton Canon chéri. Bises au 1/8° de sec.
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