Je viens de recevoir un message, par l’intermédiaire de l’ami Acouphène, à propos de la Terre. Cette note a été écrite par Fabrice Nicolino, collaborateur du beau site Terre Sacrée (lien en bas). Ses préoccupations ont un écho dans NeD blog. Lire plus >>
Ce nouveau témoignage m’a donné une idée : une façon (comme une autre) de rendre hommage à notre Terre, ami(e)s bloggueurs, est de publier le même jour (lundi prochain ?) une image de la planète Mère.
Je propose à ceux qui n’ont pas d’image sous la souris d’aller vous servir directement dans cette petite galerie que j’ai aménagé à cet effet (il y a des petites et des grandes tailles) : Gaïa.
Images:Je propose à ceux qui n’ont pas d’image sous la souris d’aller vous servir directement dans cette petite galerie que j’ai aménagé à cet effet (il y a des petites et des grandes tailles) : Gaïa.
H. Hondius (1630) - 1703 x 1200 px (w.er.uqam.ca)
Nasa (XX° siècle) - 941 x 538 px
12 commentaires:
Je suis prêt ! Très bonne idée !
Vraiment une bonne idée cette galerie de terres. j'avais des problèmes de visualisation pour un travail personnel et je me suis empressée d'en imprimer une. Bises rondes.
(au risque de doublonner mon com qui n'apparaît pas) : j'ai entendu
Fabrice Nicolino ce matin sur France Culture (http://www.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/terre_a_terre/)
Acouphène - moi aussi :-)
Ariaga - You are welcome, xxx
Arianil - la synchronicité en vaut la chandelle, non?
Je t'ai ecrit un commentaire sur ton message voix du coeur...tu le regardes?
A l'Atelier, la lumière d'aujourd'hui n'était pas virtuelle...Un vrai régal et de chaleureuses rencontres, profondes et douces...Tu nous a manqué...
POLSKA
...tu nous as manqué! (pardon!)
ça marche !
Très cher Djaipi,Comme vous semblez être angliciste en ce moment, je vous donne pour le "fun" une citation de Shakespeare qui me semble illustrer cette impression que nous avons tous à un moment où un autre de trop penser et de ne pas assez décider :
"And thus the native hue of résolution
Is sickled o'er with the pale cast of thought,
And enterprises of great pith and moment
With this regard their currents turn awry
And last the name of action.
C'est hélas le seul genre d'anglais que j'ai pratiqué vraiment et vous avez raison quand vous pensez que je ne connais pas l'anglais car je suis incapable de bien comprendre et encore moins de parler l'anglais 'contemporain". Si vous le désirez je pourrai vous donner ma traduction de ce texte qui va loin...
En tous cas je "décide" de vous faire une bise de première classe !
Serais curieux de lire ta traduction chère Ariaga !
Acouphene, Vincent, merci d’avoir joué le jeu, malgré mon forfait technique, amicalement
Polska – Désolé, c’était la panne,à tout bientôt, bisesbises
Ariaga – Je me joins à Arianil pour implorer votre traduction. Mais je reçois 5/5 votre "first class kiss", bien amicalement
La connexion était interrompue mais nous nous étions gentiment installés sur cette note. Ma traduction du vieil anglais est un peu "moderne" pour un puriste Shakespearien mais je vous la donne car c'est cette citation retrouvée qui m'a donné l'envie d'écrire sur la décision :
Et ainsi la couleur primitive de la décision,
Est affadie par les pâles reflets de la pensée,
Et les entreprises pleines d'énergie et d'importance
A cette vue perdent leur cours normal
Et perdent leur nom d'action.
Bises à partager avec Arianil.
Merci
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