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Atelier-jonque de géométries spirituelles
mercredi 31 décembre 2008
mardi 30 décembre 2008
dimanche 28 décembre 2008
Yesman
Après le grimpeur cocacolique (ci contre, surpris quai de Seine), il fallait s'en douter, l'hommoui va débarquer chez nous le 21 janvier (enfin, officiellement...). Il était temps, car cet usage du "yes" devenait péremptoire, c'est à dire systématique, voire mécanique, comme le surusage de l'injonction "écoute(z)" qui pollue de plus en plus de prises de paroles, surtout devant un micro.
Maintenant, on peut y aller. Le prophète de service, en charge du feu vert, est l'aimable (et superbe acteur) Jim Carrey.
C'eût pu être pire... Nooon, c'est une bonne nouvelle. Comme beaucoup d'autres gadgets verbaux, le pins' yes est un multipass convenable pour légitimer une attitude copiée-collée, s'il n'est le badge corporatiste d'une certaine bourgeoisie spirituelle. Bienvenu(s) au club du positive-thinking, de l'ikéa de la spi, du macdo de la Voie.
Ah ! magie des mots... Autant la pratique personnelle, intime du yes (oui, en français) est signifiante, autant son exégèse mondaine devient fumeuse et dérisoire. Mais, maintenant, tout cela va changer grâce à l'hommoui, héros politiquement correct, car issu de l'industrie cinématographique qui est censée consacrer le prêt-à-penser des attitudes schématiques.
Nooon, c'est une bonne nouvelle. On ne peut plus faire semblant de ne pas savoir, et le refus se retrouve dévêtu et stupide, sans plus de raison d'être (du moins, apparemment...).
Le déni dénudé ! Oh my Yes !
Et puis, pfuiiit, évacué, reconduit à la frontière, sousletapisé, ignoré, négationnisé, le déni est nié d'un coup de baguettoui... Il va bientôt faire partie de la charrette honteuse des sorcières, telle la schizophrénie, qui sont en passe d'être qualifiées de délinquances. Est-ce donc si simple ? Réponse possible le 21 janvier...
En attendant, sur la photo (ci dessous), la perspective pour le grimpeur n'est pas équivoque.
Ami(e)s du jazz, des étoiles et des verts de Terre (et accessoirement de NeD blog), compagnons d'ascensions et de navigations, c'est une bononne nouvelle. Vive l'hommoui pour cette nouvelle annéouie !
NeD est curieux de la forme que prendra la probable femmouie.
C'eût pu être pire... Nooon, c'est une bonne nouvelle. Comme beaucoup d'autres gadgets verbaux, le pins' yes est un multipass convenable pour légitimer une attitude copiée-collée, s'il n'est le badge corporatiste d'une certaine bourgeoisie spirituelle. Bienvenu(s) au club du positive-thinking, de l'ikéa de la spi, du macdo de la Voie.
Ah ! magie des mots... Autant la pratique personnelle, intime du yes (oui, en français) est signifiante, autant son exégèse mondaine devient fumeuse et dérisoire. Mais, maintenant, tout cela va changer grâce à l'hommoui, héros politiquement correct, car issu de l'industrie cinématographique qui est censée consacrer le prêt-à-penser des attitudes schématiques.
Nooon, c'est une bonne nouvelle. On ne peut plus faire semblant de ne pas savoir, et le refus se retrouve dévêtu et stupide, sans plus de raison d'être (du moins, apparemment...).
Le déni dénudé ! Oh my Yes !
Et puis, pfuiiit, évacué, reconduit à la frontière, sousletapisé, ignoré, négationnisé, le déni est nié d'un coup de baguettoui... Il va bientôt faire partie de la charrette honteuse des sorcières, telle la schizophrénie, qui sont en passe d'être qualifiées de délinquances. Est-ce donc si simple ? Réponse possible le 21 janvier...
En attendant, sur la photo (ci dessous), la perspective pour le grimpeur n'est pas équivoque.
Ami(e)s du jazz, des étoiles et des verts de Terre (et accessoirement de NeD blog), compagnons d'ascensions et de navigations, c'est une bononne nouvelle. Vive l'hommoui pour cette nouvelle annéouie !
NeD est curieux de la forme que prendra la probable femmouie.
samedi 27 décembre 2008
jeudi 25 décembre 2008
lundi 22 décembre 2008
Première
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Aujourd'hui, première navigation parisienne avec deux ipernitiens. L'initiative venait de Lodchjo (d'Anvers), et il y avait Christian (de Mantes). Bonne compagnie, seule la lumière était faible, mais on l'a aidée.
J'étais servi: le safari était dans mon quartier, le long du canal St Martin. Pour une première, je n'étais pas trop désorienté. Car il se dégage une fine énergie d'attention à pratiquer en compagnie et sur le terrain du réel visible, c'est à dire pas seulement sur le terrain de la toile.
Merci Christian et Lodchjo.
J'ai regoûté à ce sentiment (pourtant géométrique) que le monde est un dojo. Ce soir, pour marquer le coup, j'ai mangé quatre huîtres.
J'étais servi: le safari était dans mon quartier, le long du canal St Martin. Pour une première, je n'étais pas trop désorienté. Car il se dégage une fine énergie d'attention à pratiquer en compagnie et sur le terrain du réel visible, c'est à dire pas seulement sur le terrain de la toile.
Merci Christian et Lodchjo.
J'ai regoûté à ce sentiment (pourtant géométrique) que le monde est un dojo. Ce soir, pour marquer le coup, j'ai mangé quatre huîtres.
dimanche 21 décembre 2008
vendredi 19 décembre 2008
Shade (18)
mercredi 17 décembre 2008
Repassage
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Dans le quartier, il n'y a pas que les pompiers qui donnent l'exemple. Cet été, j'étais de (re)passage au parc, en fin d'après-midi, et j'ai surpris cette inconnue en méditation. Elle (s')était entourée d'une certaine géométrie spirituelle, dont le sentiment peut, décidément, surgir à tout moment.
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lundi 15 décembre 2008
Folie
Lettre ouverte (*)
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Chère Ariaga
Oui, NeD va bien (djaipi1 aussi, en quelque sorte).
Malgré l'omniprésence de l'assistant Lumix (petit mais très gourmand ! y compris en batteries), le cubambigu sait tenir sa place dignement, en retrait depuis 6 mois, partageant le silence (apparent) de la cartographie gravée (tendre présence) et des navigations interstellaires (welcome back de chantdupain avec cette lune Pandore!).
Le daïmon hexaèdre, finalement, n'est pas jaloux du petit gaulois iconophage. En tant qu'adepte de la Folle Géométrie, il a même trouvé romance à sa mesure dans ce parc aussi généreux en situations géométriques.
Au fait, c'est djaipi2 qui a craqué pour la Géode et autres shades et reflets, au point de couper le micro à djaipi1 sur la Jonque.
Les navigations bicyclées de cet été nous ont amené (NeD et moi, c'est à dire djaipi2, vous suivez?) plusieurs fois à observer les jeux spirituels et galants de la lumière avec cette charmante cousine de NeD: la Folie n°22.
Cousine... oui, comme moi, je suis cousin avec Andromède, mais dans l'autre sens, c'est à dire que l'abstrait NeD s'émeut d'une sculpture concrète comme djaipi1 s'est attendri de l'abstraite Andromède (ici) (là) (vous suivez toujours ?).
Je ne sais pas combien de temps cette vieille Jonque va supporter ce ménage à 4. djaipi1 est aphone, ablogue et Lumix flambe les 100 coups avec djaipi2 englouti par des hordes de "shots". Je ne vous parle même pas d'un éventuel djaipiprof, pas waterproof, qui régate rincé dans le samsara social.
Vous ne m'en voudrez pas, chère Ariaga, de partager ici ces lignes avec tous nos blogfriends (ami(e)s du jazz, des étoiles et des vers de Terre...) car je leur dois bien ces quelques borborygmes du fin fond chaotique de mon atelier. Jusqu'à ce qu'"on" débranche à nouveau le micro.
Bises à tous
...djp...
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Folie n° 22
Chère Ariaga
Oui, NeD va bien (djaipi1 aussi, en quelque sorte).
Malgré l'omniprésence de l'assistant Lumix (petit mais très gourmand ! y compris en batteries), le cubambigu sait tenir sa place dignement, en retrait depuis 6 mois, partageant le silence (apparent) de la cartographie gravée (tendre présence) et des navigations interstellaires (welcome back de chantdupain avec cette lune Pandore!).
Le daïmon hexaèdre, finalement, n'est pas jaloux du petit gaulois iconophage. En tant qu'adepte de la Folle Géométrie, il a même trouvé romance à sa mesure dans ce parc aussi généreux en situations géométriques.
Au fait, c'est djaipi2 qui a craqué pour la Géode et autres shades et reflets, au point de couper le micro à djaipi1 sur la Jonque.
Les navigations bicyclées de cet été nous ont amené (NeD et moi, c'est à dire djaipi2, vous suivez?) plusieurs fois à observer les jeux spirituels et galants de la lumière avec cette charmante cousine de NeD: la Folie n°22.
Cousine... oui, comme moi, je suis cousin avec Andromède, mais dans l'autre sens, c'est à dire que l'abstrait NeD s'émeut d'une sculpture concrète comme djaipi1 s'est attendri de l'abstraite Andromède (ici) (là) (vous suivez toujours ?).
Je ne sais pas combien de temps cette vieille Jonque va supporter ce ménage à 4. djaipi1 est aphone, ablogue et Lumix flambe les 100 coups avec djaipi2 englouti par des hordes de "shots". Je ne vous parle même pas d'un éventuel djaipiprof, pas waterproof, qui régate rincé dans le samsara social.
Vous ne m'en voudrez pas, chère Ariaga, de partager ici ces lignes avec tous nos blogfriends (ami(e)s du jazz, des étoiles et des vers de Terre...) car je leur dois bien ces quelques borborygmes du fin fond chaotique de mon atelier. Jusqu'à ce qu'"on" débranche à nouveau le micro.
Bises à tous
...djp...
samedi 13 décembre 2008
Art sacré
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Navigation parisienne, jeudi soir, avec quelques membres du groupe Artmandala (et la Lune!).
Belle exposition d'Art Sacré à Paris par des artistes contemporains dont un maître en art bouddhique résidant en France. Jusqu'au 24 janvier.
Belle exposition d'Art Sacré à Paris par des artistes contemporains dont un maître en art bouddhique résidant en France. Jusqu'au 24 janvier.
vendredi 12 décembre 2008
dimanche 7 décembre 2008
Pont
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Les cours d'eau inspirent le secret et humide espoir que leur courant fera fondre le plomb saturnien des pensées. Alchimie aléatoire comme celle d'un désir aux yeux clos. Le coeur se faufile à travers les feuilles qui flottent.
D'où vient donc notre connivence avec les ponts? Pratique du passage, ce lieu allège-t-il d'une nostalgie qui glisse sous nos pieds?
Il arrive même que la petite magie de la lumière résonne d'un petit air de Leonardo.
D'où vient donc notre connivence avec les ponts? Pratique du passage, ce lieu allège-t-il d'une nostalgie qui glisse sous nos pieds?
Il arrive même que la petite magie de la lumière résonne d'un petit air de Leonardo.
samedi 29 novembre 2008
Le long de l'eau
Ami(e)s du jazz et des étoiles électroniques, les navigations dans le monde physique sont de plus en plus rafraîchies, météoblige. Il y a de l’hibernation dans l’air. Le corps physique semble se rétrécir, ce qui a l’avantage de faire ressortir les conditionnements de l’esprit, comme les branchages nudistes de nos arbres. D'ailleurs les corps sont mis à rude épreuve en ce moment, celui de la Justice, de la Santé, de l’Education, de la Recherche même. Les oreilles sont griffées par un vent obscur, lourd et sans feuille.
Heureusement, pour entretenir la géométrie des sentiments (expression d’A. Frutiger), toujours le long du canal, il y avait quelques voisins exemplaires, aperçus en pleine pratique (>> Ipernity).
Pour l’épreuve de l’échelle, aucun des pratiquants n’a pu atteindre le dernier échelon, malgré l’aide de cieux tiepolesques. On peut les comprendre. Il y avait même un goût iodé d’analogie.
Tel celui d’une huître, ce goût m’a accompagné dans une navigation web qui m’a conduit jusqu’à cette belle peinture chinoise au format étonnant (24,8 x 528,7 cm). D'un pont à l'autre...
jeudi 20 novembre 2008
Cicatrices
Le canal offre des occasions pour surprendre la lumière en train de scénographier un espace. Ses partitions sont variées. Sur ces quais, j’y déchiffre même ce qui ressemble aux cicatrices laissées par les remords, comme l'ombre d'une cartographie.
dimanche 16 novembre 2008
Black Geod
Cette semaine, la lune pleine a été assez troublante pour les esprits - au moins le mien et celui de quelques enfants.
La belle Blanche a parfois tendance à bleuir l'âme. Je l'ai tout de même localisée (pour quelques instants seulement, ô temps géométrique...) sur ma sphère préférée, mais elle en a fait une Black Geod avec un petit soleil à ses pieds...
samedi 8 novembre 2008
Rêve
Quelle semaine ! Dans un cocktail atmosphérique de pluies et de soleil, de rentrée des classes et de croassements financiers, l'Amérique (du Nord) s'est offert un satori salutaire qui fait rêver toute la planète. L'espace s'est agrandi. Au moins un instant.
Comme un de ces jours de septembre, où un drapeau aux couleurs oeucuméniques était rincé par la lumière.
Comme un de ces jours de septembre, où un drapeau aux couleurs oeucuméniques était rincé par la lumière.
Quai de Seine
dimanche 2 novembre 2008
Pyramidyantra
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Les labyrinthes de la lumière ont beau être clairs, ils n'en sont pas si simples.
Sur Ipernity, un photonaute (dilapouille) m’a laissé, dans un commentaire, une proposition de recadrage (sur Pyramid-3731) à laquelle j’ai répondu comme à un défi convivial. Cela m’a conduit à ce mandala de Pyramide inattendu.
voir la suite>> Ipernity
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mardi 28 octobre 2008
Photographeurs
Evidemment, sur les lieux de mes navigations, je croise d’autres pratiquants qui explorent le réel visuel à leur façon, d’autres collègues (qu’ils me pardonnent ce terme un peu trivial mais sympathique) qui exercent leur regard.
Jeux de miroirs, jeux de doubles… Rien ne prouve que je ne sois pas moi-même un figurant dans la mise en scène de leur cliché. Autrement dit, je fais partie de ce tout qui m’observe et que j’observe d’une attention orientée. La relation avec le samsara en est quelque peu éclaircie.
Enfin ce voisinage anonyme est amusant et surtout stimulant, comme l’atmosphère d’un dojo.
Jeux de miroirs, jeux de doubles… Rien ne prouve que je ne sois pas moi-même un figurant dans la mise en scène de leur cliché. Autrement dit, je fais partie de ce tout qui m’observe et que j’observe d’une attention orientée. La relation avec le samsara en est quelque peu éclaircie.
Enfin ce voisinage anonyme est amusant et surtout stimulant, comme l’atmosphère d’un dojo.
jeudi 23 octobre 2008
Paraguru
Il y a quelques lieux, près de chez moi, où la lumière a (souvent) rendez-vous avec l'instant présent. Elle m'attire hors de l'atelier, des blogs et de la souris qui, déconfite, fait des bonds (toute seule) d'un coin à l'autre de mon écran comme un chat hystérique (c'est un comble...).
La lumière semble bien y être la médiatrice ravissante entre le visible et l'invisible. Une "paraguru" en quelque sorte. Mais peut-on lui résister sans se nier soi-même ?
La lumière semble bien y être la médiatrice ravissante entre le visible et l'invisible. Une "paraguru" en quelque sorte. Mais peut-on lui résister sans se nier soi-même ?
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mercredi 15 octobre 2008
Sculpture
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Beaubourg, expo "Traces du sacré"
- Pourquoi Dieu est-il surtout jaloux des sculpteurs ?
- Parce que ce sont des artistes dont les œuvres ont une ombre.
(brève d’atelier)
Il semble que la photographie ne soit pas une concurrente du Divin, elle lui serait plutôt redevable. Les navigations proposées par mon assistant visuel sont aussi turbulentes que celles de la souris.
Mais la lumière physique est irremplaçable !
Voici deux photos de sculptures, récoltées entre avril et juillet. La suite est sur Ipernity.
L’hommage à Delacroix va jusqu’à placer l’âme au dessus d’un ange (barbu) et de Mercure lui-même (le sculpteur était peut-être junggien, n'est-ce pas Ariaga?). Celles de Beaubourg ont été retravaillées (en plus grand) depuis le billet (Traces) de juillet dernier (mais pas mon appréciation). Heureusement, il y a eu la Pirogue de Polska.
- Parce que ce sont des artistes dont les œuvres ont une ombre.
(brève d’atelier)
Il semble que la photographie ne soit pas une concurrente du Divin, elle lui serait plutôt redevable. Les navigations proposées par mon assistant visuel sont aussi turbulentes que celles de la souris.
Mais la lumière physique est irremplaçable !
Voici deux photos de sculptures, récoltées entre avril et juillet. La suite est sur Ipernity.
L’hommage à Delacroix va jusqu’à placer l’âme au dessus d’un ange (barbu) et de Mercure lui-même (le sculpteur était peut-être junggien, n'est-ce pas Ariaga?). Celles de Beaubourg ont été retravaillées (en plus grand) depuis le billet (Traces) de juillet dernier (mais pas mon appréciation). Heureusement, il y a eu la Pirogue de Polska.
vendredi 10 octobre 2008
dimanche 5 octobre 2008
jeudi 2 octobre 2008
samedi 27 septembre 2008
Romance
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En effet, l’été aoûtien a été photophile. Le retour à Paris confirma une romance qui couvait depuis des mois.
En revisitant la belle Géode, fin août, j’ai enfin reconnu mon addiction à cette splendide sculpture (sonore en plus) et à ce sentiment géométrique qui naît de sa façon de chanter la rencontre du concave et du convexe.
Sa peau est ornée par la cartographie onirique de paysages ambigus, calligraphiques et en constante transmutation (NeD adore, le gaulois Lumix aussi).
Elle a, sur ses flancs, des portes du Ciel (Heavens’ doors), une à l’Est et l’autre à l’Ouest.
Elle a le charme rare et lumineux de refléter sa propre ombre.
Elle réside dans le haut lieu géométrique du parc de la Cité des Sciences, lui-même conjoint du parc de la Villette à Paris.
A propos de sphères, voir: spheregate, spheres, sph'air
D'autres images chez Ipernity
En revisitant la belle Géode, fin août, j’ai enfin reconnu mon addiction à cette splendide sculpture (sonore en plus) et à ce sentiment géométrique qui naît de sa façon de chanter la rencontre du concave et du convexe.
Sa peau est ornée par la cartographie onirique de paysages ambigus, calligraphiques et en constante transmutation (NeD adore, le gaulois Lumix aussi).
Elle a, sur ses flancs, des portes du Ciel (Heavens’ doors), une à l’Est et l’autre à l’Ouest.
Elle a le charme rare et lumineux de refléter sa propre ombre.
Elle réside dans le haut lieu géométrique du parc de la Cité des Sciences, lui-même conjoint du parc de la Villette à Paris.
A propos de sphères, voir: spheregate, spheres, sph'air
D'autres images chez Ipernity
lundi 22 septembre 2008
Lumix
Est-ce un bon jour pour rebarrer la Jonque ? Il n’y a pas de saint du jour à qui se vouer. En tout cas, c’est l’automne, et les vendanges d’un été photogénique.
Ami(e)s du jazz, des étoiles, des vers de Terre et du blog de NeD (le seul cube jazz connu à ce jour), pardonnez-moi ce silence sans lequel je n’aurais pas pu aménager mon petit coin d’Ipernity.
Merci à tous pour vos visites et spécialement aux intrépides qui ont laissé des commentaires depuis deux mois.
Mes « vacances » ont consisté principalement à pratiquer avec mon assistant visuel et à travailler sur les dossiers de photos qu’il multiplie abondamment. Ce fut l’occasion d’ouvrir une galerie et des albums, ce qui a demandé beaucoup de temps, et qui m’a imposé une abstinence totale vis-à-vis de la blogosphère.
Les velléités de mon assistant Lumix remplacent avantageusement (pour l’instant) les navigations sauvages mais broussailleuses de la souris électronique. Ce gaulois impose des contraintes intéressantes, c’est un poids plume sans viseur oculaire mais qui fait bien sonner les bleus. Il me permet de goûter à la géométrie spirituelle de la Lumière (… et de l’Ombre) et de la partager. Ces derniers jours, mon luminaire préféré est particulièrement généreux.
Voici , pour remettre la Jonque à flots, le résumé du petit périple du mois d’août. La suite est donc chez Ipernity.
Bonne semaine.
Ami(e)s du jazz, des étoiles, des vers de Terre et du blog de NeD (le seul cube jazz connu à ce jour), pardonnez-moi ce silence sans lequel je n’aurais pas pu aménager mon petit coin d’Ipernity.
Merci à tous pour vos visites et spécialement aux intrépides qui ont laissé des commentaires depuis deux mois.
Mes « vacances » ont consisté principalement à pratiquer avec mon assistant visuel et à travailler sur les dossiers de photos qu’il multiplie abondamment. Ce fut l’occasion d’ouvrir une galerie et des albums, ce qui a demandé beaucoup de temps, et qui m’a imposé une abstinence totale vis-à-vis de la blogosphère.
Les velléités de mon assistant Lumix remplacent avantageusement (pour l’instant) les navigations sauvages mais broussailleuses de la souris électronique. Ce gaulois impose des contraintes intéressantes, c’est un poids plume sans viseur oculaire mais qui fait bien sonner les bleus. Il me permet de goûter à la géométrie spirituelle de la Lumière (… et de l’Ombre) et de la partager. Ces derniers jours, mon luminaire préféré est particulièrement généreux.
Voici , pour remettre la Jonque à flots, le résumé du petit périple du mois d’août. La suite est donc chez Ipernity.
Bonne semaine.
Conjonction, Marseille
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samedi 16 août 2008
jeudi 14 août 2008
mardi 12 août 2008
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