Atelier-jonque de géométries spirituelles
vendredi 29 février 2008
mercredi 27 février 2008
Ablog
Le chemin spirituel est une voie d’accès sale et mal entretenue. Ce chemin est poussiéreux, boueux quand il pleut. C’est un chemin de terre et non une autoroute immaculée, chef d’œuvre de technologie.
Lee Lozowick, dans un texte cité par Corinne sur le blog d’iPapy.Ami(e)s du jazz et de NeD blog, il y a des pannes de micro sur le pont de la Jonque qui se retrouve parfois ablog.
lundi 25 février 2008
samedi 23 février 2008
jeudi 21 février 2008
lundi 18 février 2008
mercredi 13 février 2008
Escheravel
Ah ! les vidéos sont revenues, c’était probablement une apnée de Youtube. Profitez en : voici une association géométrique entre la célèbre illusion d’optique de M.C. Escher (mentor de NeD) et son mouvement perpétuel (ci-dessus), et ce Boléro de Maurice Ravel, maître des couleurs et des espaces, par Daniel Barenboim, superbe concert en plein air (hélas, le film est coupé en deux). Les musiciens, aussi, sont beaux. (Ça me rappelle quelqu’uns d’où…)
Daniel Barenboim - Berliner Phil. (1998)
Part. 1 (07 :08)
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Part. 2 (08:19)
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Il y a aussi la version Karajan, mais le son est nul.
Pour varier les plaisirs : version d’un seul tenant (06:56), un peu hollywoodienne, avec voix et mise en scène :
http://www.youtube.com/watch?v=3-4J5j74VPw
Version de Maurice Béjart, part 2 (ballet):
http://www.youtube.com/watch?v=UnSh-KPV7QQ
Pour varier les plaisirs : version d’un seul tenant (06:56), un peu hollywoodienne, avec voix et mise en scène :
http://www.youtube.com/watch?v=3-4J5j74VPw
Version de Maurice Béjart, part 2 (ballet):
http://www.youtube.com/watch?v=UnSh-KPV7QQ
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lundi 11 février 2008
Cosmoblue
M 35 & NGC 2158
Si l’énergie – ou demande, (ou attraction, d’accord Astrale) – qui nous anime a une forte analogie avec celle du Macrocosme, c’est qu’elle procède aussi d’un Jeu.
Roger Caillois, déjà évoqué ici et là, met en évidence les (4) caractéristiques majeures de l’esprit du Jeu (Les jeux et les hommes, voir condensation). Parmi celles-ci, l’aspect ilinx du jeu – principe de vertige – semble être celui qui influence l’âme lorsqu’elle est en apnée. La déréliction qui s’ensuit ne cessera que parce que c’est un Jeu, une illusion.
Roger Caillois, déjà évoqué ici et là, met en évidence les (4) caractéristiques majeures de l’esprit du Jeu (Les jeux et les hommes, voir condensation). Parmi celles-ci, l’aspect ilinx du jeu – principe de vertige – semble être celui qui influence l’âme lorsqu’elle est en apnée. La déréliction qui s’ensuit ne cessera que parce que c’est un Jeu, une illusion.
En attendant, l’âme bleuie a été se saouler dans les étoiles pour reconnaître que les trous noirs sont des dieux entropiques – et vis et versa. Et vers et visa : les trous entropiques sont des dieux noirs!
Les images de ces nébuleuses sont des figures impossibles par excellence, des illusions d’optique. Il n’y a aucune chance pour rencontrer réellement ces espaces autrement que par l’abstraction esthétique et astrophysique. La topologie qui dessine cette rencontre a les couleurs d’une utopie. Mais, et c’est encore mieux, il y a une même géométrie spirituelle, derrière la brèche que les dieux noirs dévoilent, et à laquelle l’âme est sensible.
Les images de ces nébuleuses sont des figures impossibles par excellence, des illusions d’optique. Il n’y a aucune chance pour rencontrer réellement ces espaces autrement que par l’abstraction esthétique et astrophysique. La topologie qui dessine cette rencontre a les couleurs d’une utopie. Mais, et c’est encore mieux, il y a une même géométrie spirituelle, derrière la brèche que les dieux noirs dévoilent, et à laquelle l’âme est sensible.
Images: CFHT.Hawaï
Fuites
Ami(e)s du jazz, iconophiles et blogonautes, quel est ce nouveau dysfonctionnement ? Certaines images ne tiennent plus en place sur la Jonque et des vidéos ne s’affichent plus. Ça fuit de partout. Elles s'échappent à tire d'ailes (ou de nageoires) je ne sais où. Je n’y comprends (toujours) rien.
Je regrette aussi ces mouettes chieuses, ou annonces de pub, qui se collent à NeD blog, mais je n’y suis pour rien - non plus.
Je regrette aussi ces mouettes chieuses, ou annonces de pub, qui se collent à NeD blog, mais je n’y suis pour rien - non plus.
vendredi 8 février 2008
Indieblue
Remembering Aru
Il y a quelque chose de géométrique dans la déréliction – ou entropie émotionnelle. C’est un point-espace incontournable sur un chemin, un signal de l’impermanence d’un état et un signe que l’évitement, momentanément, ne fonctionne plus.
La déréliction, malgré les apparences, est un état ouvert mais obscurci par son goût métallique, terreux et ancestral. Elle est favorisée par des crampes de l’âme et les crispations du corps de souffrance. Et pourtant elle fait résonner un vide inévitable.
Ah ! Ami(e)s du jazz et des uns doux, éviter quoi ? La pensée de la mort et de l’impermanence ou l’acidité des silences qui rôdent autour de nos demandes ?
C’était au cours d’un entretien avec Alain que m’était revenue la question – sans réponse - de l’état de demande (assez bien connu par certains d’entre nous), cette pulsion énergétique qui semble être derrière chacune de nos actions, qui nous anime et anime jusqu’à toute la Vie elle-même.
Et si la Vie était une énorme demande, ou plutôt un désir de reconnaissance qui serait en partie comblé par la réponse que l’on peut donner à tous Ses efforts pour attirer notre attention ? Ses prouesses en matière de Beauté sont à la hauteur de ses théâtres obscurs, douloureux et nauséabonds qu’Elle cherche, désespérément parfois, à faire reconnaître.
Et si l’Ultime, lui-même, était une Demande, une puissante demande à être reconnu...
A part çà, il a fait super beau et l’assistant visuel est épatant.
Ci-dessous : Remembering Tiru temple d’après G’Earth.
La déréliction, malgré les apparences, est un état ouvert mais obscurci par son goût métallique, terreux et ancestral. Elle est favorisée par des crampes de l’âme et les crispations du corps de souffrance. Et pourtant elle fait résonner un vide inévitable.
Ah ! Ami(e)s du jazz et des uns doux, éviter quoi ? La pensée de la mort et de l’impermanence ou l’acidité des silences qui rôdent autour de nos demandes ?
C’était au cours d’un entretien avec Alain que m’était revenue la question – sans réponse - de l’état de demande (assez bien connu par certains d’entre nous), cette pulsion énergétique qui semble être derrière chacune de nos actions, qui nous anime et anime jusqu’à toute la Vie elle-même.
Et si la Vie était une énorme demande, ou plutôt un désir de reconnaissance qui serait en partie comblé par la réponse que l’on peut donner à tous Ses efforts pour attirer notre attention ? Ses prouesses en matière de Beauté sont à la hauteur de ses théâtres obscurs, douloureux et nauséabonds qu’Elle cherche, désespérément parfois, à faire reconnaître.
Et si l’Ultime, lui-même, était une Demande, une puissante demande à être reconnu...
A part çà, il a fait super beau et l’assistant visuel est épatant.
Ci-dessous : Remembering Tiru temple d’après G’Earth.
lundi 4 février 2008
Deux voix
Sudha Ragunathan: Carnatic (South Indian) Vocal Recital
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Camaron - Tomatito, Solea por Cadiz
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Camaron - Tomatito, Solea por Cadiz
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vendredi 1 février 2008
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