Ami(e)s du jazz, des étoiles et de Gaïa, la pratique de la libre conscience devient de plus en plus périlleuse et sportive et il me semble utile, dans ce travail, de savoir à quel adversaire nous avons affaire.
Individuellement, on peut entreprendre un travail avec l’ombre, d’accord, mais il y a aussi le chantier de l’ombre collective, passablement suicidaire, dont le comportement compulsif est préoccupant. De quoi est-elle menacée ?
Nous sommes plusieurs à avoir assisté, ce dimanche dernier, à une présentation convaincante du Centre d’Information et de Conseil des Nouvelles Spiritualités (C.I.C.N.S.). Cette organisation pacifiste et humaniste présente des travaux qui témoignent du plan lamentable et néanmoins officiel du Pouvoir pour opprimer les spiritualités (dans le sens large) en manipulant l’opinion avec l’usage volontairement anxiogène du terme "secte".
La publication d’une liste (qui n’a, au passage, aucune valeur juridique) et l’usage malin des médias, donne toute "légitimité" à des interventions d’une certaine violence envers des personnes qui souhaitent simplement vivre différemment et… pacifiquement avec ce qu’elles ont au fond de l’âme. Des pensées alternatives sont menacées et même des pratiques thérapeutiques qui emploieraient, par exemple, des mots-clés comme "développement personnel".
Alors, mefi-mefi, les cheminots, les cheminants, les chemineurs, restons prudents; la spiritualité serait-elle déjà classée comme une délinquance?
- Voir la charte et les témoignages sur le site du CICNS
- Voir aussi sur NeD blog : Cultural genocide, Spiricide
Nous sommes plusieurs à avoir assisté, ce dimanche dernier, à une présentation convaincante du Centre d’Information et de Conseil des Nouvelles Spiritualités (C.I.C.N.S.). Cette organisation pacifiste et humaniste présente des travaux qui témoignent du plan lamentable et néanmoins officiel du Pouvoir pour opprimer les spiritualités (dans le sens large) en manipulant l’opinion avec l’usage volontairement anxiogène du terme "secte".
La publication d’une liste (qui n’a, au passage, aucune valeur juridique) et l’usage malin des médias, donne toute "légitimité" à des interventions d’une certaine violence envers des personnes qui souhaitent simplement vivre différemment et… pacifiquement avec ce qu’elles ont au fond de l’âme. Des pensées alternatives sont menacées et même des pratiques thérapeutiques qui emploieraient, par exemple, des mots-clés comme "développement personnel".
Alors, mefi-mefi, les cheminots, les cheminants, les chemineurs, restons prudents; la spiritualité serait-elle déjà classée comme une délinquance?
- Voir la charte et les témoignages sur le site du CICNS
- Voir aussi sur NeD blog : Cultural genocide, Spiricide
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4 commentaires:
Propagande....de quel côté? à suivre...
"L’action du CICNS est consacrée à mettre un terme à la stigmatisation injuste et dramatique des minorités spirituelles qui sont présentées comme un fléau de société alors même que bon nombre d’entre elles sont dans une démarche sérieuse de trouver des solutions aux problèmes humains".
Extrait de la position du CICNS, juin 2008
http://www.sectes-infos.net/Position_CICNS_Abus.htm
Merci pour le lien, je viens de lire "l'affaire de l'essentiel", "Waco", et "assauts policiers sur les minorités spirituelles": c'est édifiant sur les formes extrêmes que peut prendre la résistance du "mental" face au risque de destruction par les forces vives de l'être. Nous sommes donc prévenus...le "mental" ne rigole pas!
C'est grave. Merci d'avoir attiré notre attention. Bises indignées.
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