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La cartographie étudie Gaïa comme un artiste étudie son modèle, sous toutes les coutures.
Le précédent billet GCP ou Chemin du Grand Cercle date du mois de mai (GCP -3). Il était loin de conclure le sujet et n’esquissait alors qu’une hypothétique constellation d’antipodes possibles au non-hypothétique mental européen (voir l’érotîle Campbell).
Dans le billet (GCP-2), G. Mercator s’était fait un peu secouer. Pourtant c’est grâce à l’invention de sa projection que la cartographie (gravée) a produit tant de merveilles.
Hommages, Mr Mercator.
Le précédent billet GCP ou Chemin du Grand Cercle date du mois de mai (GCP -3). Il était loin de conclure le sujet et n’esquissait alors qu’une hypothétique constellation d’antipodes possibles au non-hypothétique mental européen (voir l’érotîle Campbell).
Dans le billet (GCP-2), G. Mercator s’était fait un peu secouer. Pourtant c’est grâce à l’invention de sa projection que la cartographie (gravée) a produit tant de merveilles.
Hommages, Mr Mercator.
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G. Mercator, Frontispice de l'Atlas de 1595
(avec globes et sphère armillaire!)
1057 x 1700 px (Library of Congress)
C'est l'été. Allez zoomer dans sa version en noir et blanc chez Ryhiner.
Demain (environ), suite avec une petite galeries de projections...
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2 commentaires:
Un petit bonjour cartographique. Depuis que le ménage a été fait c'est un plaisir de laisser des commentaires qui ne sont plus ou refusés ou mangés par la grande bouche de l'ogre moteur. Bises.
bonjour, bonjour! oui, la peinture du banc est presque sèche, c'est presque fini, tout sera en place (ou à peu près) pour jeudi.
Bises d'archives
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