Ami(e)s du jazz, des étoiles dans les yeux et des verts tébrés... Allez ! Encore quelques brasses (coulées pour certaines) et c’est la quille de l’été.
Une petite quille, d’accord, mais après un printemps pesticidé par la politicaillerie, les propagandes pornographiques sur la nécessité d’être accrocs à l’argent et de consommer pour se prouver qu’on existe (vivement les soldes !), après un mois de juin au thermomètre fantasmagorique, le drapeau de la trève estivale est en vue.
Une petite quille, d’accord, mais après un printemps pesticidé par la politicaillerie, les propagandes pornographiques sur la nécessité d’être accrocs à l’argent et de consommer pour se prouver qu’on existe (vivement les soldes !), après un mois de juin au thermomètre fantasmagorique, le drapeau de la trève estivale est en vue.
Ah! si, j’entends au loin Ariaga qui va sortir ses voiles d’été, un spi – Necker, un spi - rituel ou une spi – râle ?
J’écris çà au coin de la table, entre deux piles de dessins d’enfants, du scotch (l’adhésif !) et les œillades de mon nouvel assistant visuel.
Allez, à la mémoire de Fules Jerry… et de Marlechagne !