Atelier-jonque de géométries spirituelles

dimanche 2 septembre 2007

Galaxcolaire


Juin 07 (djp)
Ami(e)s du jazz et du zafu, des étoiles et des vers de Terre, la Jonque de NeD blog baisse quelques voiles à l’approche de la turbulente galaxie scolaire.
Vendredi était la pré-rentrée, demain, ce sera le grand bain. Pendant deux mois, il ne restait que leurs ombres.


Septembre 07 (djp)
Le Centaure géomètre n'était-il donc qu'un saisonnier ? Visiblement les globes continuent de me harceler (spirituellement, bien sûr). La cartophilie va-t-elle marcher à l' ombre?
A moins que les collègues…



L’image est d’Asa Smith, uranographe du XIX° siècle. Allez voir sa galerie personnelle dans NeD galeries.
Bonne journée.

7 commentaires:

Anonyme a dit…

Message radio ...

La salle des machines a rendu l' âme ...
Le Kaïkan vogue pour l' instant dans l' entre-deux, cet espace de transition enveloppé d' un doux brouillard, autant anesthésiant que creuset d' avenir ...
Une page se tourne ... Pas une tempête, juste un constat de vie sans faux fuyant ...
Un espace vierge à ( ré)apprivoiser, quelques blessures à panser ... Un resserrement en guise de baume en création ...
Je reste en contact de coeur avec chacun(e) d' entre-vous et passerai m' abreuver en vos pages ...

djaipi a dit…

Mutation, transmigration, métamorphose… Bon, si ce n’est que la salle des machines… l’âme continue son vol transparent, un blog n’est qu’une enveloppe après tout, même s’il se prend parfois pour son créateur. Depuis quelques temps, je sentais bien un curieux son de cloche car je n’arrivais plus à connecter chez toi. Merci en tout cas pour ton message et pour tes attentions.
Ici, c’est bizarre, la rareté des échos fait que les questions sont grasses de ne pas vraiment voir la motivation réelle qui pousse à avancer. Un blog n’est pas un sous marin pour frayer les profondeurs sans se nourrir de réactions. Paradoxalement, les vertiges qu’il produit sont des enseignements. Car si l’on ne se contente pas de faire du « fastblog », il y a les mêmes troubles inconfortables qu’avec une peinture ou une sculpture.
Temps de guérison, temps de méditation… Prends soin de l’âme, tu seras toujours bienvenue sur cette jonque éclectique. Amicalement, je t’embrasse. A bientôt

Anonyme a dit…

Bon courage pourla reprise et les plans de rigueur qui ne sont que richesses si j'ai bien compris les commentaires à la TV

chaleureusement

djaipi a dit…

Ah ! LungTa, bien le bonjour, il ne faut pas trop croire ce qui est dit à la tévé -même si c'est en partie vrai :-), tu connais la chanson de l'enfer et des pavés...
Quand je parle de galaxie turbulente, c'est vraiment un vocabulaire soft, si tu as des enfants, tu dois goûter à ce cocktail chaotique d'idéologies tordues qui vise à transformer les écoles en petites entreprises destinées à "produire" des êtres formatés et plus ou moins asservis à un matérialisme tragique. Trois types de victimes: les enfants, les parents et les enseignants.
Mais, bon... c'est le samsara (ou le "charnier" selon l'expression de certains amis)...
Merci pour ta visite, je ne bouge pas trop dans la blogosphère ces temps ci, il y a une (pas très) drôle d'ambiance...
A bientôt, amicalemnt

Stéphane a dit…

Les ombres sont-elles le résultat d'un de tes ateliers scolaires ?

Anonyme a dit…

je pleure le départ de Kaïkan et j'ai été bien intéressée par votre réponse à Lung Ta. Spleen bises.

djaipi a dit…

Stephane – bonsoir, merci de laisser ta trace sur la jonque, non, c’est un vestige du travail de mes prédécesseurs, mais ça le fait, non ?

Ariaga – Kaïkan transmute silencieusement, faisons lui confiance… Ces pleurs vont sûrement vous inspirer quelques poèmes, n’est-ce pas ?
Le sujet de la manipulation idéologique me démange les doigts, mais je me retiens (je manque encore de style). C’est quand même curieux que tant de traditions spirituelles authentiques et différentes pointent vers le même « problème ». Les bouddhistes ont un vocabulaire radical. Je suis curieux de lire la réaction de LungTa (s’il a le temps d’en donner une, car il travaille dur).
Le noir et blanc vous va bien.
Pardonnez moi mais je repense encore à Rilke…
Bises bleues